Un séjour en Alaska de A à Z (part 1)
Ce bref abécédaire ne se veut pas un glossaire de guide de tourisme ou de préparation de voyage mais livre simplement quelques impressions.Lire la suite »Un séjour en Alaska de A à Z (part 1)
Ce bref abécédaire ne se veut pas un glossaire de guide de tourisme ou de préparation de voyage mais livre simplement quelques impressions.Lire la suite »Un séjour en Alaska de A à Z (part 1)
Vol sur Seattle. Survol du Groenland sans rien voir : c’est tout couvert. Puis la terre de Baffin, et le nord du Canada, sous la neige / la glace; le pilote indique que nous allons jusqu’au 72ème degré de latitude Nord, il en manque quelques-uns encore pour le pôle. Beaucoup de montagnes enneigées à l’approche de Vancouver. A Seattle, la douane est passée comme une lettre à la poste.Lire la suite »Bienvenue en Alaska!
Grand soleil sur les Hautes Alpes. Les températures froides de la nuit conservent une neige de bonne qualité qui se prête encore bien au ski de fond. Boucle dite des ‘Têtes’ à la Pousterle (secteur de Puy Saint Vincent), tour des pistes balisées de Ceillac (Queyras), plateau des Fonts (au départ de Cervières)… Un vrai plaisir !Lire la suite »A fond dans le col d’Izoard
Une forme de glace particulière reçoit le nom de pénitents. J’en ai rencontré en Himalaya (Shishapangma) ainsi qu’en Amérique du Sud (au Tupungato et à l’Ojos del Salados, au Chili). Au Sajama, le plus haut sommet de Bolivie, ils se forment progressivement et deviennent particulièrement difficiles à franchir au fur et mesure que l’hiver austral avance.Lire la suite »Les pénitents restent de glace
Si le bateau pour l’Antarctique ne partait pas des îles Malouines, je n’aurais jamais pensé à y passer des vacances. En apprenant qu’il n’y a… Lire la suite »Vive les Iles Malouines !
25 novembre 2011: une date, point de départ d’un calendrier sur un fichier Excel commencé il y a dix-huit mois, sur lequel s’enchaînent les voyages comme les pièces d’un puzzle. Puis une date sur un billet d’avion, réservé huit mois en avance. Puis les jours qui s’accélèrent soudainement… C’est mathématique: un jour de passé quand il en reste une cinquantaine ou une centaine avant l’échéance, c’est anodin; un jour de passé quand il n’en reste que quatre ou cinq, ça fait tout de suite beaucoup plus drôle et procure un petit pincement au cœur.Lire la suite »On est partis…